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Je vous ai entendu, Surcouf :) ! J'ai en effet téléchargé Musescore après avoir lu une discussion sur le forum indépendant consacré à la fin de Finale et à la conversion des fichiers finale (en XML) vers d'autres éditeurs. Apparemment, c'est vers Musescore que la conversion se fait le mieux. Du coup, j'ai essayé avec une de mes compositions pour un petit orchestre et cela a plutôt bien marché. Je ne connais pas encore le programme. De toutes façons, je n'avais pas vraiment l'intention de passer à Dorico. Je trouve d'ailleurs déplorable le comportement de Make Music, société qui a développé Finale. aujourd'hui à 17:54

ContrepointNon-pivot posé

Coincidence? Ou hasard ? David Moitié, dans sa correction que j'ai reçue hier, me fait la remarque suivante : "en contrepoint , on n'utilise pas de dissonance au posé . Mais nous le ferons en composition/ arrangement." Donc toutes vos réponses étaient bonnes , c'est bien une contrainte pédagogique ! Grand merci à vous. hier à 15:19

Composition[C58] Synthèse vocale

Jean-Luc a écrit : Je vous invite à écouter la pièce d'Olicha sur la Galerie au cours 69 sur Stravinski. Effectivement, la partie chantée est bluffante. Quel logiciel a-t-il utilisé ? le 2 septembre à 12:52

Je t'aime, un peu, beaucoup...Josquin des Prés - Mille Regretz

Jean-Luc a écrit : On pourrait d'ailleurs ajouter un module musique ancienne qui serait d'ailleurs passionnant mais je doute qu'à la fin du dernier module il y ait beaucoup de passionnés pour le suivre, pourquoi pas ? Personnellement, je suis très attiré par la composition de style "fantasy", que j'ai découvert l'an dernier : la musique fantasy est un genre musical qui accompagne généralement des œuvres de fiction, notamment dans les domaines du cinéma, des jeux vidéo, de la littérature et des jeux de rôle, qui se déroulent dans des mondes imaginaires ou inspirés par des époques médiévales ou mythologiques. Elle est conçue pour évoquer des ambiances fantastiques, magiques, épiques ou mystérieuses, en s'appuyant souvent sur des éléments culturels variés, des instruments traditionnels ou des orchestrations grandioses. La musique fantasy utilise souvent des instruments acoustiques traditionnels, tels que les flûtes, les harpes, les luths et les violons, souvent combinés avec des orchestres symphoniques modernes. Des instruments exotiques ou anciens, comme le duduk ou la cornemuse, sont également couramment employés pour créer des ambiances spécifiques. La musique fantasy puise souvent dans les traditions musicales de différentes cultures pour enrichir son univers sonore, mais elle est bien souvent mêlée à la musique médiévale, sous le nom "médiéval fantastique". Comme la musique de film, la musique fantasy a souvent une structure narrative, avec des motifs musicaux récurrents qui représentent des personnages, des lieux ou des événements spécifiques. Cela permet de renforcer l'immersion dans l'histoire. Moi qui suis fan de jeux de plateau à l'ambiance médiévale et de musique de film, je pense que, si je pouvais composer de la bonne musique de fantasy, cela m'ouvrirait des portes professionnellement, car il y a une forte demande en la matière, actuellement. le 2 septembre à 12:19

Compositionanalyse du développement

Bonjour à tous. Que ce soit le thème A ou le Thème B au début de ce développement, dans les deux cas, il s’agit d’une variation du thème et non d’une simple imitation du thème à la dominante. Examinons d’abord si le début de ce développement pouvait être une variation du thème B. Que ce soit une reprise ou une variation du thème, on doit retrouver l'antécédent et le conséquent avec une structure identique pour ces 4 mesures (thème et imitation). Si l'on retrouve bien les premières notes de B (que j'attribue plutôt à la fantaisie de Mozart), on ne retrouve pas le conséquent ici d'autant plus que le thème B dure 4 mesures alors que la variation du thème dure 2 mesures dans le développement. Or, on doit retrouver la structure complète du thème qu’il soit varié ou imité. Par contre, si l'on compare maintenant la structure du thème A (2 mesures d'exposition et deux mesures d'imitation), avec celle du début du développement, on constate qu’elle est identique : deux mesures de variation du thème et deux mesures de variation de l'imitation. De plus, on retrouve les notes principales dans la variation : Ré / Sol-Fa# devient une fois varié La / Ré-Do# à savoir une imitation à la dominante ce qui est logique pour le début du développement. Un autre point est intéressant est à observer. Il est concerne les entrées des schèmes : Ré dans le thème et La dans l’imitation pour l’exposition alors que l’on a La pour variation du thème et Ré pour celle de l’imitation. On perçoit bien ce travail de variation sur un thème initial. le 21 août à 16:28

HarmonieC 18 unisson chromatique

Merci Jean-Luc:) le 19 août à 21:04

Je t'aime, un peu, beaucoup...Harmoniser les chorals de Bach

Chanter les voix est une excellente pratique que je n'ai eu que trop rarement la patience de respecter :) vous avez bien raison de vous y mettre dès à présent. Quant à l'analyse, c'est bien de s'y initier tôt aussi, vous aurez plus de facilité quand vous entamerez les cours de composition, qui comportent tous une, puis plusieurs phases d'analyse de la pièce modèle du cours. Bon courage à vous, il faut dire que nous sommes déjà fort occupés avec les TPs de cours ;) le 16 août à 22:56

Composition[C42] Majorer le degré 7 car on arrive sur la dominante ?

Bonjour à tous Je réponds un peu tardivement à Surcouf :) Concernant cette succession VII majoré VI minoré, on la trouve dans ce même menuet à la mesure 2 de la réexposition (avec en plus le degré VI majoré à la basse). Pourquoi cela? Afin de mieux mettre en valeur le mode mineur avec VII majoré et VI minoré. Et surtout, il est essentiel que la sensible en mineur soit majorée sinon nous ne sommes plus vraiment en mineur. A cette époque, il n'y a aucun intérêt à "brouiller" la perception de ce mode. le 16 août à 19:44

Composition[C42] Questions sur correction du 3eme commentaire

Bonjour à tous Merci pour vos réponses sur le parallélisme Surcouf et sur les degrés VII VI, Mr Fab. En effet, la dissonance ne supprime pas le parallélisme d'octaves. Quand au Mi bécarre, ce degré VII doit être majoré car on est encore en Fa mineur. Comme le dit Mr Fab, pour être minoré, il devait être suivi de Réb. Il faut donc éviter cette note ici. L'intérêt de ma proposition est d'obtenir une belle ligne de basse. Effectivement, on ne passe pas en MIb M. Mais on pourra le faire dans les mesures suivantes. Nous ne sommes pas à la mesure près pour cela ici. La quinte au posé convient puisque c'est une dissonance. Et comme nous restons toute la mesure sur l'accord I, on la perçoit bien comme telle. Cela dit, avec les mouvements disjoints à la fin de votre schème a, il n'y a pas énormément de solutions. Comme le dit Surcouf, le saut de 7ème n'est pas très intéressant dans cette succession de schèmes. Au contraire, il faut une continuité mélodique. le 16 août à 19:35

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